Le vélo, c'est nul et ça pue

16 novembre 2006


Chers lecteurs, bouzour, comme dirait tante Jacqueline. Encore un jour noir pour la flugusterie, mettant toutes mes résolutions de mardi dernier à l'index. Ce matin, porté par un enthousiasme débordant, je partais avec un mien camarade faire une promenade en bicyclette tout-terrain, que le vulgaire appelle VTT. Mon comparse étant aussi motivé que moi, la randonnée fut assez calme, pas trop sportive donc poussant à la rêverie devant notre jolie campagne sarthoise. Et tout d'un coup, un revetement blanc marquant un stop, un virage un peu trop appuyé, une chaussée glissant à la base et paf, c'est le drame. En chûtant de vélo, on pourrait se casser une jambe ou des trucs spectaculaires du même accabit, mais là, pas du tout. Je me suis blessé au pouce et à l'annulaire, ce qui n'est vraiment rien pour qui ne joue pas de guitare ou de clarinette. Mais je ne peux plus jouer pour une pauvre égratignure, alors, permettez-moi de jurer brièvment: saperlipopette de sapristi de putain d'enculé de merde de sa mère, dédicacé aux revetements des stops.

Cette semaine, Duff est à l'honneur avec un magnifique classique de notre enfance si nous eussions été de quelques années plus jeunes.

Mesdemoiselles, Messieurs, Mesdames, Monsieur le ministre, saluez vos familles de ma part. Si vous avez des remarques à faire pour le temps surcomposés et la grammaire imparfaite, écrivez à:

The John Flugu International Bureau of Investigation
23 rue Mickael Jordan
97200 Struddlebuck-lès-Tombélanège