Monsieur et Madame Yaltéléfonkison ont un fils

23 avril 2008


Bien le bonjoire à tous. Comme vous n’y tenez plus, voici le petit peukli de la semaine, une interprétation du joker version englourt (mi-anglais, mi-yaourt), du Steve Miller Band, qu’on retrouve sur l’inégalable compile « Levi’s Music », qui, j’en suis sûr, a bercé vos longues soirées d’ado. Si vous ne connaissez pas, courez chez votre disquaire pour ce petit florilège de country-rock américain. Il est cependant possible que le dit disque ne soit plus distribué depuis des temps immémoriaux, à l’époque où Levi’s avait le monopole incontesté du blue-jeans avec son fameux 501. D’où la fameuse maxime « Levi’s qui moule masse les boules ».

Cette semaine un coin «cultivons-nous sans nous fatiguer ». Eh oui, la semaine dernière, sans que j’y prêtasse la moindre intention, j’ai pu accumuler quelque expérience qui me donnera l’occasion de briller aux soirées de l’ambassadeur, notamment en allant au pestacle. Il y avait coup sur coup Le quatuor et La Bossa Fataka de Rameau. J’avais déjà vu à maintes reprises le premier en affiche partout dans les couloirs du métro, aussi y allais-je pour satisfaire ma curiosité (peut-être aussi parce que j’y étais obligé pour d’obscures raison). Là je dois dire que ces quatre musiciens m’ont franchement cloué sur place durant ce spectacle, par ailleurs fort bien mis en scène et magnifiquement éclairé. J’ai même ri et applaudi à tout rompre, moi qui suit d’un naturel à m’emmerder profondément au spectacle. Si vous voulez vous donner une idée, imaginez deux violonistes, chacun faisant les doigtés sur son propre violon et jouant de l’archer sur celui de son compère, et pas une musique du style « La pêche aux moules », mais plutôt dans le genre des suites pour violoncelle de Bach (c’est hachement plus balèze). Et je ne parle que d’une épuisette de jonglerie musicale dans un océan d’acrobaties. La Bossa Fataka de Rameau, elle, m’a pris par surprise. Compte-tenu du titre, et de la musique de Jean-Philippe Rameau (un mec du 18ème), je m’attendais à un honorable ballet classique. En fait, la moitié des danseurs faisaient de la danse hip-hop, et la musique de Rameau s’y prête pultôt bien. Le tout agrémenté de trucages hallucinant. Un exemple ? Imaginez un éléphant qui marche sur un ruban tendu entre deux danseurs. C’est fou, non ? Pour ceux sont alléchés par ce petit topo, je suis désolé de leur avoir gâché un effet avec cet exemple, mais il y en a plein durant le spectacle tout aussi étonnants. Allez-y en masse, j’ai des actions dans ces spectacles.

Chers flugonautes, il est temps de m’eclipsouille. Dédicace cette semaine à Nicône qui sait très bien pourquoi (un peu de mystère ne fait jamais de mal, surtout ceux au chocolat). Travaillez bien à l’école, n’abusez pas des chokobons et mangez 5 fruits et légumes par jour (je rappelle que les nouilles ne sont pas un légume). A mercredaille.

2 Commentaires :

  • A 8:47 PM, Blogger Clement Soullard a dit …

    Valide toi !

    Comme on dit dans le mileu : je plusse , Cristina me dit que tu chante mieux et je confirme !

     
  • A 11:07 PM, Anonymous Anonyme a dit …

    ...You're a LOver
    ...You're a sinner
    ...A midnigth talker
    ...And a good singer!!!
    Même Milou a repris en coeur!!!
    Fée Divers

     

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