La plus belle femme du monde ne peut offrir que ce qu'elle a, et vice-versa.

14 février 2008


Chers lecteurs hebdomadaires, mes respectueuses salutations. Tout de suite sans plus tarder une composition originale, aboutissement de longs voyages et autres recherches extrêmement poussées dans les domaines de la psychoaccoustique et la polyharmonie diphonique. Et pourtant, on en trouvera toujours pour dire « arrête, tu crois qu’on a pas vu que tu t'y étais mis le mercredi soir à minuit et que t’avais rien dans ta musette !». Face à ces éventuels détracteurs, je me parerais de mon dédain le plus apprêté. Oui, ça ne veut rien dire mais je trouvais que ça faisait bien genre-style, comme on dit à l’Académie Française.

Le billet de 100€ d’humeur, une fois n’est pas coutume, sera un hommage à un mec qui en son temps gratta sa guitare en compagnie de Jean-Baptiste Weiss et qui est parti voir dans la constellation d’Orion s’il y était, Henri Salvador, bien sur. Je commençais à me figurer qu’il était immortel, force est de constater qu’une fois de plus, à l’instar de Carlos, nous avions à faire à un humain. Pour la petite histoire, le Jean Baptiste en question –pour se la péter au baby foot et devant les filles- se faisait appeler Django Reinhardt. Maintenant dans la planète guitare, il n’y a guère plus que des hommes qui ont vu l’homme qui a vu l’ours (rassurez-vous il y a encore plein de mecs qui ont connu Jimi Hendrix). Je m’étendrais volontiers sur ce cher Henri, mais comme 98% d’entre vous, je ne connais que 2 refrains de lui comme « zorro est arrivé » et « une chanson douce » (le titre véritable est à partir de biche et d’animaux de la forêt, mais vous m’aurez compris). Néanmoins, en son honneur, je lui dédie ces 5 lignes de silence.





Voilà, merci pour lui d’avoir lu jusqu’au bout.

Chers amis, portez-vous bien la tête entre les deux épaules, et à mercredi prochain. Pas de dédicace cette semaine, pour que le cours de la dédicace augmente et que les spéculateurs renflouent la société générale par un ingénieux système à base de choses beaucoup trop complexes pour être expliquées en quelques lignes sur ce blog.