Combien de sapins, et surtout combien de boules?

28 décembre 2007


Chers flugoBizanautes, au moment où j'écris ces quelques lignes, je ne sais pas encore ce que va être la vidéo de la semaine étant donné que je n'ai qu'une webcam et pas de studio de montage avec moi, et de surcroit seulement 5 minutes pour en trouver le contenu. Autant le dire tout de suite, je m'excuse. Cependant, la tournée de la famille avec tout mon bazar sous le bras n'est pas des plus évidentes. Le premier qui dit "t'aurais pu y penser avant" a un gage. Bon, c'est décidé, ce sera un Tolosa-Crooner by Clément et son inégalable sens de la synchronisation. Pour les sceptiques, c'est effectivement lui qui chante, ce n'est pas du playback. Pour les faux-sceptiques, allez voir chez Arpic si j'y suis.

Un billet d'humeur géopolitique aujourd'hui. Figurez-vous que Fatpoposlim, notre envoyé spécial à Shangaï m'a appris que le gouvernement chinois censurait mon blog. Voilà donc où était passé mon milliard de connexions quotidien! Cependant je ne peux pas lui en vouloir... Le contenu hautement subversif de ce blog aurait vite fait de renverser un régime politique. Rappelez-vous donc le mois de septembre quand un moine birman a lu par hasard un article du JFIGS... Rappelez-vous aussi quand John McFlanagan, marin sur le Bounty s'eest connecté en WiFi sur le blog... Non, sans blague, la censure c'est vraiment une arme pour les idiots, qui sont tous enfermés dans le même bureau, qui ont tous des petits chapeaux et de petites autos et qui voudraient bien avoir l'air, mais qu'ont pas l'air du tout. Et sur les murs de leur bureau à ces blaireaux, y'a des affiches du PC et de la médecine de travail. Et je suis sur qu'ils ont tous des slips kangourou blancs. Peut-être trouvez-vous cette diatribe peu construite, mais elle a le mérite de détendre.

Mes gentils petits lutins, encore quelques jours de festoiement et on va enfin pouvoir se mettre au régime. Bon courage à ceux qui enchaînent le repas chez mamie dès le lendemain du réveillon du nouvel an. Mes pauvres... On se retrouve en 2008, et ce sera la deuxième fois que j'aurais l'honneur de commencer une année avec vous. J'en ai les larmes aux yeux. Amusez-vous bien, à mercredaille (si, si, j'essais d'être à l'heure la semaine prochaine).