21 mai 2008


Mes gentils flugonautes, bien le bonjoire. Sans plus attendre le song de la week : une compo originale qui s’intitule Chanson facile. Comme c’est une composition, il serait assez malvenu de ma part de faire quelque commentaire. D’ailleurs ma modestie maladive et légendaire me l’interdit.

Une tûme n’est pas coufois, parlons sport dans ce deuxième paragraphe. Je vous rassure, il ne s’agit pas de vrai sport dans le sens chiant du terme (où l’on parle du classement du PSG et du nouveau record du monde de 122 m en nage turkmène). Il s’agit en fait de paintball. J’en vois d’ici un ou deux qui se gaussent selon quoi ce n’est pas un sport. A ceux là je réponds que dans ce cas, le ski non plus n’est pas un sport (c’est beaucoup trop drôle pour être un sport). Bref. Le paintball, je l’ai découvert ce wikaine avec une quarantaine d’amis –plus ou moins équilibrés dans leur tête, et vigoureux dans leur corps- en pleine forêt sur deux jours. Bien entendu l’ambiance était plutôt virile (c’est-à-dire 70% des effectifs étaient pourvus d’une paire de .ouille). Quand on prépare ce type de wikaine, une des obsessions de l’organisateur est de garantir la sécurité de ses joueurs. Des consignes avaient donc été données comme quoi à moins de 15m il est défendu de tirer sur son adversaire, on est sensé lever son arme et s’en aller. Il est défendu de tirer sur quelqu’un qui a son arme levé, etc. Eh bien, malgré les règles rappelées toutes les 15min, au bout de quelques secondes d’une partie, on se retrouve à tirer à bout portant en pleine tête du premier humanoïde venu et à sentir le désir de terminer son adversaire qui nous a envoyé 17 billes dans la fesse (le plus douloureux) à coup de crosse. Je ne pensais pas que le fait d’avoir une arme entre les mains me donnerait cette excitation et cette décharge d’adrénaline dont on m’avait parlé. Force est de constater que si, du moins les premières minutes. En effet, de naissance je n’ai pas été pourvu du gène de Rambo, et dès que je m’éloignais de ma base de plus de 5 mètres je me faisais shooter sans ménagement par l’équipe adverse sans même voir où étaient embusqués les tireurs. Et une bille de peinture, ça fait mal, voire très mal selon l’endroit. Et ça fait des marques un peu comme des suçons. Paye ta honte quand tu retournes au boulot le lundi, en boîtant comme un petit vieux.

Mazette, il est déjà l’heure ! Mes chers amis, n’oubliez pas de ne pas regarder Roland Garros, y’a mieux que ça à faire quand il fait beau. Dédicace cette semaine pour Yanou du Concorde, paske ça fait une paie. Grosses bises à tous.

2 Commentaires :

  • A 11:34 AM, Blogger babar a dit …

    coucouyou!

    salu ma caille, frissonante la p'tit chanson (un peu facil a jouer, j'ai déjas retranscrio et appris par coeur la mélodie,,,).
    pour info le yanou n'est plus au concorde mais à larochelle ceci explique cela....
    gros bisous
    Babar/isa.

     
  • A 2:44 PM, Anonymous Anonyme a dit …

    Bien au regret de n'avoir pu viendre en ce week-end de chasse à l'Homme!!! Mais trop de *.ouiles pour moi, p'tite Ninfette, qui a peur des gros calibres....
    Quand vos joutes serons moins violentes, je passerais faire une tournée dans votre petit bois joli.
    ......Hey! Vive les vacances hein!?
    Veinard!

    Fée Cékunu....

     

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