Yo les aminches et bienvenue au John Flugu International Guitar Show. Cette semaine, puisque vous fûtes sage, vous avez enfin droit à un clip monté. On peut même dire monté comme un âne car c'est au travers de ce clip que je fis mes premières armes en flugusteries, il y a quelques années, quand j'étais encore pur et candide et que je m'émerveillais sur le monde qui s'ouvrait alors devant mes vingt ans. Avec une musique pas originale -une fois n'est pas coutume- de l'ami Steevie Wonder. Une métaphore s'est par ailleurs glissée dans ce clip, j'offre le slip original du clip à qui la décode et la savoure avec un bon cigare au coin du feu.

Je continue mon périple à Paris, aussi quelques idées de clip et autres n'importequoieries me traversent l'esprit. Alors, me dis-je, profitons des monuments qui ont fait le succès de cette capitale au travers le monde pour égayer mes plans! C'est alors qu'un mien ami me fit part de quelques restrictions légales: figurez-vous que pour filmer la Tour Eiffel en ce moment, c'est 15000 euros. Et oui, un grand artiste a refait son éclairage pour la mettre au diapason de la coupe de monde de ce sport aux regles incompréhensibles qu'on appelle Rugby. Figurez-vous que ce blaireau exige des droits d'auteur quand on la filme. Enfin bon, personnellement, je n'ai filmé que les poutrelles, ce sont plutot ses éclairages qui se sont tapés l'incruste sur mon film. Pour la Villette, c'est pareil. Ca me révolte et rien que pour les embeter, je vais filmer leurs oeuvres d'art exprès (qui, entre nous ressemblent plus à des batiments qu'autre chose), et je leur filerai pas un radis. Sans blague.

C'est ainsi que s'achève le billet de cette semaine. Vous aurez remarqué que le Real Soul n'est toujours pas revenu cueillir des cerises, mais rassurez-vous, tout le staff y travaille. En attendant, allez écouter le brame du cerf, cueillez des champignons et faites l'amour devant la cheminée, on dirait que c'est l'automne. Soyez sages et à mercredi.

PS: le jeu de mot du titre est déposé par Lionel Epaillard. Un petit coup de pub, allez sur le site www.hydraule.com

Chers amis bonsoir. Cette semaine à l'honneur une interprétation à 2 balles d'une étude de merde de Giuliani, gentil compositeur espagnol aujourd'hui décédé, hier aussi d'ailleurs. Présentée comme ça, rien d'appétissant, mais après visionnage vous conviendrez que c'est d'un intérêt relativement limité. Mais pourquoi? Que s'est-il passé? Voici les explications oiseuses (si ce mot n'existe pas c'est bien dommage, car il a toute sa place dans cette phrase):

Chers flugonautes, depuis quelques semaines je suis parti de Bleuss, le John Flugu Headquarter, non sans reclasser bien entendu les 47 employés qui travaillaient à la John Flugu International Inc.. Une moitié chez LDC, une moitié chez Bel et la dernière moitié à la mairie. Je n'ai gardé que le pôle de secrétaires (4 secrétaires spécialisées en langues nordiques, car flugu est un mot slave, vous n'ignorez pas). Bref, je n'ai plus d'ordinateur, plus rien, à peine un camescope. Ce qui d'ailleurs explique les génériques de début et fin méga nazes cette semaine. Mais je tiens bon, et je continue, vous inquiétez pas. J'en ai encore dans ma musette.

Les amis, buvez un grand verre de jus de carotte par jour, ça augmente les chances de gagner au loto, c'est un mec qui m'a dit ça dans le métro. A mercredi pour de nouvelles aventures et dédicace à Jérémaille et Kati qui ont trouvé qu'il manquait encore un mec sur terre pour qu'on soit au complet. Enjoy.

Mes chers et patients flugonautes, bien le bonjoire. Sans plus attendre, le hors-d'oeuvre de cette semaine: le Rilsoul et son mini-accordéon nous interpréte une Czarda anonyme pour la simple et bonne raison que le nom de l'auteur avait été écrit sur un bout de papier que la secrétaire de John Flugu International Inc a égaré. Elle a été fessée en place publique pour réparer ce grave oubli qui fera que le malheureux auteur ne mangera que des patates crues cette semaine.

Peut-être les plus assidus d'entre vous auraient marqué un certain relachement dans la régularité de la publication. Auprès de ceux-là je m'excuse, ayant épuisé le potentiel du syndicat du livre, j'en prends l'entière responsabilité (en fait c'est la faute d'un stagiaire qui s'apelle Didier, mais je suis pas du genre à accuser les autres pour me couvrir). Néanmoins l'essentiel étant la parution de ce 73ème post, laissons là ces ergotages sans intérêt.

Les amis, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter de joyeuses fêtes de mi-septembre et à vous faire une bourrade viril ou un clin d'oeil enjoleur. Finissez bien votre soupe et à mercredi.

Madame, Monsieur, bonsoir. Cette semaine, Chuck Berry est mis à l'honneur avec son méga tube que nombre d'entre nous connaissent sur le bout des doigts de Mickael J. Fox, en direct différé depuis les Elodiz purplue flower studios. Veuillez excuser ce petit retard de parution lié à un problème du service "intelligence et organisation" de John Flugu International Inc.

Grâce à cette merveille technique qu'est Internet, figurez-vous que, et oui, je vous écris depuis la capitale. A chaque fois je n'en reviens pas. Bon, OK, j'ai déjà sorti un truc du genre dans un article du mois d'aôut, mais comme je suis à Paris, je suis super pressé. Toujours en quête de notoriété pour cette chère ville de Bleuss, j'essaie de démarcher TF1 pour y organiser l'émission Interville et France2 pour tranformer le concept de Fort Boyard en Fort Colbert de Torcy. Cependant, je ne suis pas sûr que la télévision soit tout à fait prête à accueillir ce type d'expérience audiovisuelle psychédélique. Aussi, si vous souhaitez soutenir cette juste cause, envoyez moi vos dons.

Mes bichons, une bise et une bourrade virile. Et bon courage pour la rentrée, mais j'ai entendu un spécialiste dire à France Inter qu'il n'y aurait soi-disant plus JAMAIS de rentrée scolaire en 2007! Si ça c'est pas une bonne nouvelle!aa