Chers amis du friday wear et autres dressing codes de la route, bonjoire. Si mes calculs sont exacts, je dois être arrivé en Marne d'où je vous fait ce petit billet. Et oui, chez John Flugu, on colle à l'actualité du tour de France, et on a pas peur de passer ses vacances dans la Marne. Cette semaine, un clip super-production qu'on a failli attendre, qui honore la langue de Molière avec de subtiles rimes et des strophes qui n'ont rien à envier à la chanson de Roland.

Il est possible que certaines images tournées par d'autres que moi se soient glissées dans ce clip, venant de 3 films. Il en résulte naturellement un grand jeu concours, voujs l'aurez compris: dites-moi les 3 titres et vouis gagnez le combo-banco. Qu'est-ce donc? Bien entendu un porte-clé-loupite-sifflet, mais aussi "Mes meilleures recettes de chou" dédicacé par Pleute l'ancien et comme vous fûtes sage, la thèse de Duff sur les escargots bretons (dont vous pouvez avoir un aperçu en cliquant là).

Il est temps pour moi d'explorer quelques caves à Champagne en compagnies de mes deux guides croates, alors permettez-moi de prendre congé en vous faisant de grosses papouilles.

Bien le bonjour à tous, et pis la santé comme on dit chez nous. Cette semaine, c'est Orèl qui se la donne avec sa batterie, un dimanche matin comme le titre le laisse sous-entendre, un lendemain de fête nationale. Aussi, il ne vous aura pas échappé que les syncopes sur le mouvement en moulin sur la caisse claire de la 6ème partie sont un hommage à Robert Parpetistslava, la fameux tambour-major de la 7ème compagnie de cavalerie, celle-là même qui inventa l'informatique sous le second empire avant d'être entièrement décimé par un obus, ce qui repoussa l'avenement du PC en 1977. La suite, on la connait...

Vous aurez remarqué que les intros depuis quelques semaines sont beaucoup plus légères, car j'ai eu la visite des brigades du bon gout, et après d'apres discussions, ceux-ci ne m'ont laissé que la jouissance du jingle de fin, et encore, à condition d'honorer notre culture greco-latine. La lutte reste ouverte, d'autant plus que j'ai vu sur un de vos blogs, chers flugonautes que je ne suis pas seul dans ce combat qui, à n'en pas douter, vous passionne.

Un billet météo parce que vous fûtes sages: du soleil dans vos coeurs si vouis etes de bonne humeur. Pour tous les autres, ben c'est tout pourri, regardez-donc par la fenetre... Dédicace cette semaine à l'homme du sud du nord qui a vraiment très bon goût. Son blog: http://iamfromsouth.free.fr/dotclear/. Les amis, il est temps pour moi de gonfler ma bouée coin-coin pour aller acheter mon pain.

Bonjour à tous, mes hommages. Cette semaine n'est pas ordinaire aussi avons-nous préparé dans la série "les grands classiques des coins de trottoir", la Danse hongroise n°5 de Johannes Brahms, celle-là même qui accompagna Charlie Chaplin dans ses exploits de barbier dans Le dictateur. Exceptionnels cette semaine? Tout à fait: c'est la première fois cher flugonautes que nous passerons la fête nationale ensemble. J'en vois qui ricanent comme quoi la danse eut pu être plus francophile, à ceux là je dis: oui, mais je n'y peux rien si Brahms n'est pas français.

Il est l'heure de penser aux vacances. Je vous annonce d'ores et déjà que la parution sera assurée dans sa continuité grâce à nos énormes système informatique-porte-clé-loupiote qui permettent de se connecter depuis chez ma mamie Jeanne qui va me faire des frites et des bisstecks deux fois par jour que je mangerai devant la télé entre deux grilles de mots flechés de télé 7 jour. C'est beau la technologie.

Chers flugonautes, comme vous futes bien attentifs jusqu'au dernier mot, je vous embrasse sur le museau. Soyez gentil avec les petits vieux, sauf les méchants bien sur, aidez bien les aveugles à traverser la rue et soyez sages. A mercredi.

Chers amis des climats tempérés et exotiques, bien le bonjour. Cette semaine, nous vous offrons une petite improvisation (un lendemain de fête, ce qui explique nos mines réjouies) en Mi mineur car ce temps pluvieux ne mérite d'autre mode. A la caméra mobile, Rominou, notre tchiktchikeur préféré.

Je me suis livré à une reflexion interessante aujourd'hui: où en serait l'humanité si nos pouces étaient accrochés à notre main au niveau du poignet? On n'aurait plus la possibilité de se servir du pouce et d'un doigt quelconque pour en faire une pince pour attraper par exemple, un morceau de sucre. Je vous vois venir: il est possible de choper un morceau de sucre avec l'index et le majeur. Soit. L'humanité pourrait toujours sucrer ses cafés, et même les touiller (avec un peu de persévérance). Cependant, il est clair qu'il deviendrait impossible de zapper avec une télécommande, ce qui augmenterait considérablement la qualité des productions audiovisuelles, ou bien amoindrirait le jugement des téléspectateurs. Ce mystère reste entier, alors sachons nous satisfaire de la place de nos pouces par rapport à nos mains. En tout cas, moi, j'ai fait la paix avec mes pouces, même le gauche.

Chers flugonautes, je terminerai ce post avec une maxime de notre ami Pleute l'ancien: "n'oublie jamais que tu es un enfant de l'univers, pas moins que les arbres et les étoiles [...] et qu'il te soit clair ou non, l'univers se déroule sans doute comme il le devrait". Alors, ça va. A mercredi, n'oubliez pas vos devoirs de vacances et votre table de 7.