C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut se taire
- Ho hé hein bon arrêtez avec la peau des ours!
- Oups...
- Ni mara yangu ya kwanza
- C'est la java oh le pauvre chat!
- Un bon verre de soda après une gueule de bois
- Lucky Luke était-il daltonien?
- My tailor is a bourbe
- Envoie ce titre à 10 amis et tu sauras la personne...
- Mes gentils flugonautes, bien le bonjoire. Sans pl...
- Kiki la cocotte et coco le concasseur de cacao
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Le 22 avril, je vote ou je m'épile
18 avril 2007
Chers enfants du 3ème millénaire, salutations et caetera. Aujourd'hui nos héros seront Clément et Cristina qui nous interpretent depuis Sao Paulo Desafinado, le standard de Jobim, qui pour les incultes dans mon genre est le mec qui a inventé la musique au Brésil. Chose curieuse, ce cher Antonio Carlos a inventé la bossa-nova (pas tout seul, mais pas loin) -en gros, a modernisé considérablement la musique traditionnelle- qui est une musique qui invite à... comment dire... regardez les hanches de Cristina est laissez moi ne pas finir ma phrase; et ces connards de politiciens l'ont envoyé en taule pour ça! Et c'est les bobos européens de l'époque qui l'en ont fait sortir. Comme quoi la musique, c'est un truc de ouf et la politique, ça sera définitivement jamais mon truc.
Ce deuxième paragraphe comme d'habitude à l'image de mon humeur sera court mais bref. J'ai reçu pas mal de commentaires sur Dailymotion et Youtube dernièrement, et pour la plupart très gentils. Cependant, un gentil commentateur qui a apprécié un de mes clips a dit "Dommage pour l'intro, assez conne...". Et bien cette petite phrase un lundi matin m'a insufflé l'envie de lui introduire un coton-tige dans le pire endroit ou on pourrait introduire un coton tige qui n'est d'ailleurs pas celui que vous croyez, bande de dégueulasses. Enfin je reste ouvert à la critique (sauf si vous tenez à la vie).
Chers flugonautes, je vous aime, vous êtes les plus beaux et d'ailleurs, dimanche, je vais voter pour vous. JT'C
Ce deuxième paragraphe comme d'habitude à l'image de mon humeur sera court mais bref. J'ai reçu pas mal de commentaires sur Dailymotion et Youtube dernièrement, et pour la plupart très gentils. Cependant, un gentil commentateur qui a apprécié un de mes clips a dit "Dommage pour l'intro, assez conne...". Et bien cette petite phrase un lundi matin m'a insufflé l'envie de lui introduire un coton-tige dans le pire endroit ou on pourrait introduire un coton tige qui n'est d'ailleurs pas celui que vous croyez, bande de dégueulasses. Enfin je reste ouvert à la critique (sauf si vous tenez à la vie).
Chers flugonautes, je vous aime, vous êtes les plus beaux et d'ailleurs, dimanche, je vais voter pour vous. JT'C
Titre réservé aux gens qui ont des chaussettes
12 avril 2007
Etudes 6 et 5 de Sor
Chers amiguss, bienvenuss en ce jeudi d'avril, où forts de tous nos fils, nous nous excusons platement du retard de parution, lié à un cyclone qui a ravagé mon coin, précisément localisé sur mon appartement. Voici cette semaine deux études de Sor, un espagnol du siècle dernier (ou avant-dernier, enfin fin 19ème) qui a redonné un coup de neuf à la gratte qui avait tendance à devenir un instrument un peu kitchoss alors, cantonné aux sérénades de quelques romantiques et autres dragueurs de marché (le supermarché n'existait pas alors sauf peut-être Shopi, et encore je suis pas sur). Voici 2 études parmi ses plus célèbres, remises en lumière par Andrès Ségovia, un pape de la guitare classique moderne.
Le billet météo du jour, pour tous ceux qui n'ont pas la chance d'avoir une fenêtre ou une porte chez eux, nous fait part d'une couverture nuageuse qui ne sert à rien ormis mettre à mal divers projets de pique-nique que certains auront été tentés de faire compte-tenu du beau soleil qui commençait à nous faire sortir tongs et autres chemisettes bariolées et ridicules.
Chers dichotomistes de l'extrême et autres métempsychoses, n'oubliez pas votre paradigme si vous sortez. Passez de bonnes fêtes de fin d'année quand il en sera temps, et en attendant amusez-vous bien. Le proverbe du jour est signé Pleute l'ancien encore : Le monde est constitué de 11 sortes de gens: ceux qui connaissent le binaire et les autres. Oui, c'est n'importe quoi celle-là, c'est une dédicace. Le prochain, promis, y'aura des gros mots dedans.
Le billet météo du jour, pour tous ceux qui n'ont pas la chance d'avoir une fenêtre ou une porte chez eux, nous fait part d'une couverture nuageuse qui ne sert à rien ormis mettre à mal divers projets de pique-nique que certains auront été tentés de faire compte-tenu du beau soleil qui commençait à nous faire sortir tongs et autres chemisettes bariolées et ridicules.
Chers dichotomistes de l'extrême et autres métempsychoses, n'oubliez pas votre paradigme si vous sortez. Passez de bonnes fêtes de fin d'année quand il en sera temps, et en attendant amusez-vous bien. Le proverbe du jour est signé Pleute l'ancien encore : Le monde est constitué de 11 sortes de gens: ceux qui connaissent le binaire et les autres. Oui, c'est n'importe quoi celle-là, c'est une dédicace. Le prochain, promis, y'aura des gros mots dedans.
En direct de chez Philippe Risoli
04 avril 2007
Mélancolie en Fa mineur
Chers touristoss du weboss, chapeaux bas pour les salutations de rigueur. Notre héros du jour, vous l'aurez reconnu, c'est le real Soul des familles qui se la donne derrière son piano avec sa mélancolie. Notez les mimiques d'intense concentration sur le visage de notre lover de service, témoignant de son implication dans sa mélodie.
Chers flugonautes, le fait que je fasse cette chronique en looz-dé au bureau m'interdit le traditionnel troisième paragraphe. Je vois d'ailleurs le gentil travailleur à qui pendant un instant d'égarement je gaulais le poste taper du pied et rouler des yeux devant moi. Il ne me reste donc plus qu'à vous saluer cordialement ou plus si affinités, et à vous souhaiter amour et rock'n'roll -comme disait Lucille- jusqu'à mercredi prochain.
Chers flugonautes, le fait que je fasse cette chronique en looz-dé au bureau m'interdit le traditionnel troisième paragraphe. Je vois d'ailleurs le gentil travailleur à qui pendant un instant d'égarement je gaulais le poste taper du pied et rouler des yeux devant moi. Il ne me reste donc plus qu'à vous saluer cordialement ou plus si affinités, et à vous souhaiter amour et rock'n'roll -comme disait Lucille- jusqu'à mercredi prochain.