Attention et joyeux Noël, les loulous. Voici ma contribution hebdomadaire avec cette version d'un standard d'une année chère à mon coeur, qui provoque des pulsions incontrolables aux éternels fans de disco dont je fais partie (malgré les protestations de mon entourage). Sous les moustaches de gauche vous trouverez The REal Soul, et sous le chapeau votre serviteur. Le maître du temps est interprété par Clément. Par un miraculeux hasard de la vie, il se trouve que nous étions tous les trois au même réveillon de Noël, alors nous en profitâmes pour nous geler les miches sous la grisaille de Pruillé l'Eguillé et honorer la mémoire de ces blondinettes d'Abba.

Youye, bande de chenapans. Les choses sérieuses en entrée, avec une nouvelle exploration musicale avec mon jamman dans l'urgence, compte-tenu que mes chers contributeurs sont tous partis sur les plages de Jamaïque et préfèrent se faire masser les orteils par des nymphettes bronzées, ou déguisées en Mickey, c'est selon (cherchez pas c'est un privète djoke), plutôt que de se filmer dans des costumes ridicules sur leur temps de loisir. Pour les réclamations quant aux éventuelles fausses notes, sachez que celles-ci font parti du manuscrit original que moi seul possède, enfin possédait, parce que mon tamanoir domestique l'a mangé à l'instant.

Pour le reste, c'est le dernier article avant Noël, et probablement un des dernier article bi-hebdomadaire. Et oui, en 2007, le John Flugu IGS privilégie la qualité et ne sera publié qu'une fois (ou 2) par semaine. En attendant, les petits n'enfants, n'oubliez pas d'être sage si vous voulez que le père Noël soit cool avec vus. Pour ma part, j'en ai vu 2 déjà cette semaine, et pas un ne m'a adressé la parole ni remis le camescope numérique de mes rêves. Je croyais pourtant avoir été sage. Diantre. Allez, joyeux Noël à tous!

Youyouye à tous, et pareillement pour les autres. Comme le titre l'indique, cette semaine la chanson est une commande, à savoir "une chanson sur la condition féminine, euh non, sur Noël, euh non, la condition féminine, euh, enfin, on compte sur toi". Ne reculant devant aucun obstacle, voici une chanson sur la condition féminine lors des fêtes de Noël, dédiée à Léna et Claire, que vous aurez plaisir à retrouver prochainement ici en tant que comédiennes du clip du jeudi; tantôt désopilantes, tantôt émouvantes et peut être même nues si vous envoyez suffisamment d'argent. Bon, assez de blabla, le lien vers la musique:

Le Noël de Jeanne
Si comme d'habitude cette grosse merde de blog ne marche pas, voilà l'adresse à recopier dans la barre d'adresse de votre navigateur préféré: http://johnflugu.free.fr/Musique/Noeljeanne.mp3

Chers lecteurs, bien à vous, cordiales bourrades viriles et autres gestes ostentatoires d'amitié.

Yo. Comme vous ne l'ignorez pas une seconde, c'est bientôt Noël, aussi vous ai-je chanté ce petit air de Noël dans le titre. Cette semaine, une magnifique production, faite à la maison, avec, excusez du peu, 2 comédiens professionnels, Nico et Djo. Une fable métaphorique réservée aux élites intellectuelles, sur une musique de The Streets, Turn the page.

Ouh saperlipopette, me voilà fort en retard. Pas de digression poétique aujourd'hui, car tout ce qui est rare est cher, et j'ai besoin de m'acheter un cheval bon marché. Comme le temps c'est de l'argent en toute chose et par ailleurs, daignez tolérer ma soliloquie et mon hyperverbie, et me laisser m'en aller.

Si vous avez compris la dernière phrase, vous êtes bien le seul. Mes petits amis, n'oubliez pas, rien ne sert de faire de shopping de Noël, il faut partir à 18:00 le 24 décembre (sauf à Nantes et Angers, dixit le préfet). Allez, c'est n'importe quoi, voilà ce que ça fait d'écrire sans se relire. Grosses bises à tous.

Yodelahi chers amis qui feraient mieux de travailler plutôt que d'aller sur internet, mais pour John Flugu, c'est permis. Par ce temps de grand froid, réchauffons nous avec cette carte postale qu'Alex nous envoie, un être humain au qualité remarquables mais qui a surtout la particularité d'être à l'échelle 3/4, ce qui explique la différence de taille.

La chanson de la semaine s'appelle In the streets, et cette merveille de groove et de jazz est au bout du lien suivant (j'ai dégagé dewplayer le lecteur révolutionnaire qui ne marche jamais pour le traditionel lien html):

In the streets
Si cette grosse daube de blog ne reconnait pas le lien, entrez l'adresse suivante dans votre navigateur:
http://johnflugu.free.fr/Musique/inthestreets.mp3

Mes frères, je vous raconterais bien ma vie mais ce n'est pas mon genre, d'autant plus qu'un savoureux sandwich m'attend devant un savoureux reportage qui parle de l'insémination artificielle des chêvres. Vous riez? Bon alors je ne vous raconterai pas l'histoire des chêvres-araignées. Ou alors vite seulement. Et bien figurez-vous que des scientifiques ont isolé la protéïne du fil d'araignée et ont fait un petit mix génétique avec les protéïnes du lait de chêvre, en faisant des trucs beaucoup trop compliquées pour ce blog sur les embryons de chêvre. Maintenant ces chêvres ont un lait qu'on peut filer, et qui est résistant au moins 4 fois comme de l'acier. On l'utilise pour recoudre les mecs qui ont besoin d'êtres recousus quand il se sont fait mal. On reconnaît facilement ces chêvres, elles volent de building en building quand elles sont dans leurs champs et elles sauvent les autres chêvres quand un méchant veut conquérir le monde.


Je vous embrasse goulûment.

Chers amygdales, je vous souhaite un joyeux lundi, et la santé bonne, c'est le plus important. Commençons par les choses sérieuses, à savoir ma chanson qui s'appelle Coboye de l'Est, tout frais chantée de cet après-midi.

Si vous l'entendez en vitesse accélérée, c'est anormal et il faut utiliser le lien suivant: Coboye de l'Est

Hier, je suis allé faire un tour sur ce qu'on appelle les "espace perso MSN", d'où j'ai rapporté Monique et Jacqueline, ci-dessus. Je ne sais pas si elles sont bien au courant des histoires de droit à l'image, mais la loi est formelle: on peut utiliser à titre privé toutes les photos privées qu'on veut pour en faire ce que l'on veut, c'est à ça que sert internet et le vingt-et-unième siècle (en fait j'en sais rien et je m'en fous). J'ai alors pu constater au cours de mes pérégrinations que 97% des blogs français sont creux et servent uniquement de répertoire à photos de teuf floues et mal cadrées, ou d'inauguration de cantines scolaires. J'ai bien cherché des photos de cul, mais là j'ai pas réussi. Alors, c'est preuve à l'appui que je déclare: vous êtes ici sur un blog de luxe, et si vous voulez voir mes photos de vacance, passez votre chemin. Le premier qui me dit "tu les as déjà montré sur ce même blog", il sort.

Comme on dit chez nous, "et ben c'est pas pour dire, quand je suis chez les gens, c'est à cette heure-ci que je m'en vais". Pas de jeux de mots foireux cette semaine, car je n'en ai pas envie, poil au zizi.